lundi 28 avril 2014

Billet d’humeur, Jean-Michel Chesné et Mario Del Curto à la BIP. Par Pauline Gillard

Billet d’humeur, Jean-Michel Chesné et Mario Del Curto à la BIP.

Par Pauline Gillard


La semaine passée, j’ai eu l’occasion d’aller visiter l’un des endroits d’exposition de la Biennale Internationale de Photographie 2014. Je suis allée à la Chapelle st-Roch, située en Pierreuse là où deux artistes exposent leur collection. Mario Del Curto expose une collection de photographies et Jean-Michel Chesné, une collection de cartes postales.

J’ai pu constater que la collection de cartes postales de Jean Michel Chené avait une très forte signification mystique et croyante. En effet, chaque photographie représente des lieux, installations, des sculptures et des créations que les hommes ont construit en étant guidés par leur propre croyance et foi. Face à cette collection, nous sommes ébahis par tant de choses d’une telle beauté qui aient pu être bâties par des hommes menés par leur seule force de conviction. Beaucoup de sujets différents sont photographiés ce qui fait que nous passons par diverses émotions, nous sommes parfois surpris, amusés, admiratifs.


La collection de Mario Del Curto représente des artistes bruts de divers coins du monde. Pour rappel l’art brut est une forme d’art regroupant des productions réalisées par des non-professionnels de l’art, sans culture artistique, oeuvrant en dehors des normes esthétiques convenues. Ces personnes font de l’art sans en être conscient. Mario Del Curto a rencontré ces artistes parfois par pur hasard en voyageant. Il les photographie dans leur environnement naturel, qui est donc parfois l’œuvre elle-même. Il photographie aussi uniquement les œuvres de ces artistes hors-normes. Encore une fois j’ai été ébahie par tant de beauté, que ce soit dans la composition de la photographie ou dans l’ouvre photographiée elle-même. Le photographe arrive à nous plonger dans un sentiment d’étonnement. J’ai contemplé ces photographies avec un grand sentiment de respect. 


« Kabaret Warszawski » ? Une pièce vulgaire, excessive et assommante. Par Pauline Gillard

 « Kabaret Warszawski » ? Une pièce vulgaire, excessive et assommante.

Par Pauline Gillard

Etant l’œuvre  du metteur en scène polonais Krzysztof Warlikowski , « Kabaret Warszawski » nous montre la vie en Pologne au temps de Hitler. Après quelques minutes à regarder la pièce de théâtre je fus vite persuadée que celle-ci était fort vulgaire et excessive ainsi qu’assommante.
 Je trouve que cette pièce est trop vulgaire car ils parlent ouvertement de sexe sur scène, imitent l’acte sexuel, se baladent à moitiés nus, se retrouvent dans des positions qui gênent le spectateur et les personnages sont vulgaires dans leurs attitudes et façon de parler.

Je pense que c’est une pièce excessive car tous ce qui se passe sur scène l’est : la manière dont les personnages se comportent, parlent, sont habillés, dansent, se trémoussent, la musique allait trop fort, les cris également, la mise en scène était aussi excessive, les paroles, les gestes, etc… Tout ça me semblait sur-joué, comme si on voulait épater le spectateur mais dans mon cas, c’est l’inverse qui s’est produit. La pièce était même excessive dans sa durée… 4H…

J’ai trouvé cette pièce assommante car elle sollicite énormément et constamment l’attention du spectateur. Nous devons être constamment en alerte des moindres faits qui se produisent sur scène ainsi que lire les « sous-titres » (car la pièce est en polonais)  sinon nous sommes complétement largué. De plus, comme dit précédemment, tout est excessif, cela nous fatigue donc beaucoup. Voir une pièce durant autant de temps qui mélange arts de la scène, cabaret, chant et danse est totalement insoutenable.


LA CRITIQUE DE PARISCOPE
 ( Hélène Kuttner )
  • Faire de la scène le lieu de tous les possibles, une plate forme artistique de libre échange, sexuel, affectif, politique, où la transgression serait la règle et la passion amoureuse un objectif toujours présent, mais rarement atteint, tel est le projet du metteur en scène polonais Krzysztof Warlikowski avec ce « Kabaret Warszawski » (Cabaret Varsovie) dans son nouvel espace scénique à Varsovie, que l’on peut découvrir aujourd’hui à la Fabrica, le tout nouveau lieu de spectacle du Festival d’Avignon. « Willkommen, welcome, bienvenue » clament les acteurs performeurs de la troupe du Nowy Théâtre aux spectateurs en les accueillant face à l’immense plateau rectangulaire aux murs carrelés d’un blanc clinique, conçu par sa scénographe Malgorzata Szczesniak. D’un coté, une cabine en plexiglass transparent, comme celles utilisées pour les peep-shows, de l’autre un cabinet de WC, transparent lui aussi. Le spectacle est une vaste fresque, cinq heures entracte compris, dont la première partie se déroule en Allemagne dans les années 1930 durant la montée du nazisme et la seconde juste après le 11 septembre à New-York. A partir de ces deux bornes temporelles et spatiales et d’extraits de romans, « I Am a camera » de John van Druten, « Adieu à Berlin » de Christopher Isherwood, qui a inspiré le scénario du Cabaret de Bob Fosse et « Les Bienveillantes » de Jonathan Littell pour la première partie, « Shortbus » de John Cameron Mitchel et deux romans de John Maxwell Coetzee pour la seconde, il s’agit de faire le lien entre deux époques qui voient revenir insidieusement une forme de conservatisme moral et politique. La troupe du Nowy, toujours brillante, enchaîne des numéros avec un brio assez époustouflant qui mêle le jeu, la déclamation, la danse, la performance physique et vocale. Sylphides blondes aux jambes interminables qui font le grand écart devant Hitler le nain bedonnant, bourgeoise juive ensanglantée par les milices, petit peuple de la République de Weimar éructant un antisémitisme ordinaire, star allemande hystérique et gesticulante dont le seul objectif est de flatter la virilité des hommes, les séquences au romanesque singulier, flirtant avec le désir et la violence, la fascination du mal et le fatalisme de l’histoire en marche dans une atmosphère d’égoïsme triomphant et nationaliste, demeurent fortes quoique trop longues. Dans la deuxième partie, les sonorités assourdissantes d’un orchestre rock jouant « Radio Head » donnent le ton : transexualité, bisexualité, fantasmes amoureux, scène d’orgasme collectif, le vingt et unième siècle version Kieslowski se transforme en une bacchanale animale, haletante et libératrice de tous nos fantasmes pour contrer une société catholique de plus en plus répressive en Pologne. Scènes d’orgies, fumette de haschish en groupe, masturbation en couple, peep-show et combats érotiques torrides et brutaux, dont Claude Bardouil, le danseur français, est l’un des protagonistes, les scènes s’enchâssent pour balayer le spectre de nos désirs les plus secrets … et les plus banaux. De ce spectacle récréatif et transgressif, flamboyant et pessimiste, on ressort étourdi et sonné, sinon ennuyé par cet amoncellement de scènes dont l’esthétique est certaine, mais la poésie échappe.

Lien : http://spectacles.premiere.fr/Salle-de-Spectacle/Spectacle/Kabaret-Warszawski-Cabaret-Varsovie-3784347/(affichage)/press

samedi 26 avril 2014

Une minute pour une image (Lieben T.)

Jacques Lizène

One and Three Chairs

mercredi 23 avril 2014

Une minute pour une image : Jacques Lizène 


Par Pauline Gillard

1 minute pour 1 image - Jacques Lizène (Cristofalo N.)


 https://www.youtube.com/watch?v=U1lb9FWPiYM&feature=youtu.be

critique théâtre kabaret ( simon Chloé 6B)



Critique théâtre

Article consulté
Critique
·        *  Pas assez cabaret à mon avis. Je trouve qu’il y avait trop peu de moment de fête et que ceux-ci était placé dans des situations qui semblais plutôt triste. 

·        *  On ne savait pas où donné de la tête entre regarder les sous-titres  et les acteurs qui étaient de tous les côtés, on s’y perdait.

·          * Trop de provocation sexuelle qui n’est pas utile. Il y en avait à tous va sans raison particulière, n’a pas sa place dans un cabaret qui est plus tôt basé sur l’amusement le charme mais pas la violence des allusions sexuelle. 

·           * La musique était joyeux invitait a la fête comme les cabarets sont sensé le faire. Un cabaret invite  à l’ivresse.  

·          * C’était trop long, surtout lorsque l’on ne comprend pas grand-chose. De plus  certaine scène était tiré en longueur or cela n’était pas nécessaire

Boycotte du savoir( billet mars simon chloé 6b)




Le début de l’année 2014 fut marqué par le combat valeureux mené par des parents d’élevés contre l’enseignent de la théorie des genres. En effet une rumeur a fait penser au parent qu’on allait changer leur en enfant en transsexuelle, leur apprendre dès leur plus jeune âge les pratiques sexuelles en vigueur… Mais où allons-nous ? Comment pouvons-nous enseigner cela à des enfants innocents… 
Je pense tout d’abord que les enfants n’ont besoin que de leur parent inconscience pour savoir ce qu’il y à savoir sur le sexe. En effet quand-on prend la plus des enfants on peut voir que rare ceux qui ont des parents qui font attention au petit sigle situé sur les émissions de TV ou encore sur les jeux vidéo. On les laisse regardé, joué ce n’est que de la fiction. 
De plus je pense que les parents intelligents et protecteurs ont dû certainement vérifier ce que voulait dire « théorie des genres » avant de s’opposer contre cette éducation. Mais non, le savoir on s’en fou ! En effet on retire les chérubins de l’école, qui est sensé leur inculqué les savoir les plus élémentaire comme lire, écrire, calculé, de peur qu’on leur apprenne de mauvaises choses… Je pense qu’il devrait peut-être prendre la place de leurs bambins afin d’exercer leur raison et leur esprit critique. Car si ils avaient ne fus que jeter un coup d’œil à ce qu’est « la théorie des genres » il n’aurait jamais réagi en privant leur enfant du savoir. Puis comme le dirait Amélie Nothomb, «   On n’a rien inventé de mieux que la bêtise pour se croire intelligent. »